Partez si le cœur et l'esprit vous en commande, vous en donne le désir.
Partez dans un voyage sans artifices et unique, qu'importe la méthode laissez vous simplement visiter et en vous même Voyager!
Alors, autant de fois que vous le pouvez, avec le sourire aux lèvres et l'esprit ouvert, Partez! Osez, Descendez, remontez sans limite de temps et d'espace sur cet escalator, cette spirale bien nommé "la vie" dans un unique plaisir d'un Voyage Amoureux, d'une Rencontre.
Vivez et profitez un instant de vous, juste pour vous...
N'oubliez pas que de vous même vous êtes l'officiant, guide et chercheur à la fois, et à ce titre " libre" à tout moment de partir et quitter aussi cette page d'un simple clic.
Toutefois et si tout est ad-hoc maintenant, suivons ce bonhomme qui et là prêt au départ avec en poche seulement son ticket en l'instant immaculé, pas encore composté.
Vous n’effectuerez rien qui puisse aller à l'encontre de vous même, si ce n'est un voyage, fait de ce que vous y mettrez.
Cet Homme, Il va vidé ces poches sans peur, sans crainte du lendemain, il a fait le vide des sommes contextuelles, cultuelles et culturelles, libre de touts dogmes.
"il ouvre sa pensée amoureuse de la vie à la rencontre de son devenir"
Il sait, qu' à l'évidence il ne peut transférer, s'en décharger, cette valise étant sa demeure sa conscience , il en est le contenu et le contenant, elle en n est sa compagne de voyage.
Et lui... il et là , il demeure avec son fourbis intérieur sur son quai, tout lui semble si vide de sens, le monde s'agite!, mais que fait ce monde..de l'autre, ou le conduit il.
Lui qui ne cherche rien, ou plutôt qui cherche tout en avait oublié l'essentiel qui par stupidité, égocentrisme, cupidité et avarice de soi était là sous ses yeux " l'amour est l'ouverture" La gare et le temps qui passe (vu sous un angle d'image symbolique ) lui ont fait éclater non pas ses pieds qui courent dans les affres des contraintes et obligations journalières mais tout simplement son cœur qui demande à s'ouvrir plus encore. Que fait cet Homme, deviendrait il maso au point de s'assigner lui même en justice?
Souvenons nous de ces interrogations; il en à plus qu'il n'en faut à ce stade de son voyage.
Alors cette mise en demeure de soi, il se doit de l' appréciée, non pas comme une action intrusive, mais bien comme une possibilité sans limite de se confronter à de nouvelles formes de pensées. Il part avec lui même et chaque descentes devenant en soi une initiation. il ouvrira une porte, des portes.
En ce sens l’évolution qu'il va entreprendre sur les chemins méditatifs et créatifs est comparable au funambule qui sur son fil joue et recherche le parfait équilibre. Cela suppose de faire corps et de ne pas s’éviter dans le contre-balancement des questions et bribes de réponses toujours plus interrogatives.
Né au petit matin de sa propre demande, il sait que sa démarche et ses étapes, descentes et ouvertures de portes doivent le guider et les yeux mis clos il s'installe.
Il ressent qu'il lui faut révéler et laisser apparaître une nouvelle architecture de réflexion, non stéréotypée, non conditionnée, tout aussi ouverte sur le monde physique, matériel que spirituel.
Il plonge en lui même à la recherche d'une liberté de conscience sans contrainte , où l'esprit voyage et Médite avec comme vénus intérieure un État unique, de Liberté autonome qui implicitement le conduira du moins il le souhaite à se construire, à poser les éléments essentiels de l’ouvrage, de l’œuvre pour lesquels il descend t’en lui-même. Il médite est cette action en devient une qualité permanente d’inventaire personnel, où la résonance intérieure faite d études et de réflexions renvoi le chercheur dans un éternel va et vient, du haut vers le bas et inversement. Elle en est un labyrinthe et Cette vision labyrinthique de l’action méditative lui suppose la recherche qui à ce stade n’est autre que celle d’un chemin, d'une artère, d'un sang nouveau . Le but d’un labyrinthe dépasse largement la vision primaire et ludique généralement acquise, son terme est de se perdre… de buter, de se heurter, d’être confronter au final à ces décisions et ces questions, à soi pour soi dans et avec l’autre.
Ce seul état de fait tendrait à asseoir le Méditant dans le « cherche et tu trouveras » ou de fait il n’y a qu’une seule entrée et sortie possible, le chercheur lui-même qui, dans sa propre quête, dans son dédale va taper et ouvrir toutes ses portes de l’inconnu de son inconnu, ou bien encore du non reconnu... !
Alors, choisir en liberté de faire, et d’ouvrir des portes ne devrait en aucun cas venir flatter l'ego et l’orgueil, le résultat devant demeurer et rester le fruit d’un partage, du chercheur cherchant, de l'homme parmi les Hommes.
L’action de Méditer semble à fortiori être matériellement impalpable, et pourtant elle nous éclaire au même sens que l'expérience, qui s'acquiert journellement dans nos pratiques fussent elles professionnelles de loisirs ou de vie tout simplement, méditer serait donc alchimie opérative à la fois consciente et inconsciente. Elle conduit à s’appliquer, à écouter, à entendre et comprendre au- delà des mots, du cliché de la première impression, ressenti et sentiment.
Méditer impose de faire, et de faire taire le petit Moi ou Grand moi, Méditer serait donc la recherche d’une paix intérieure dans état de discernement et de raison, avec comme un doux mélange les vertus et la sagesse qui ne se laisserait pas emporter par l’affect et la passion…
Méditer permettrait d'accompagner l'action de se rapprocher d’un état de simplicité d’être et de savoir être, elle pourrait nous faire aussi comprendre combien il est important de s'épurer de l’illusoire, de l’inutile.
Elle placerait dans son travail en prise avec le sujet méditant, et le sujet médité à un niveau de réflexions et de conscience qui tendrait à aboutir à un équilibre dans le faire avec équilibre et justesse.
Le travail...Méditatif impliquerait de fait de savoir prendre son temps, et le temps.., le temps de s’interroger, de descendre, de peser et d’apprécier.
Cette recherche de vérité ou d’équilibre n'étant pas la recherche de notre vérité comme absolue, elle résulterait et serait l’aboutissement de plusieurs réflexions, parcours et points de vue, sommes de toutes les différences et partages qui élargissent notre propre champ et conceptions du juste équilibre et interrogation
La seule chose qui pourrait être opposable à chacun est: la recherche que l’on entreprend avec soi.
la présentation faite sur le sujet n’est pas une vérité en tant que telle, elle est simplement une des perceptions du Chercheur Méditant. Je vous la propose et l’oppose bien volontiers à vos commentaires.
Et l'homme sur son quai en est toujours à voyager, à tailler dans l'agir....
Sophia-Exquadra