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Voyager avec comme unique  bagage soi même, ne point quitter son logis pour en  pénétrer au mieux  son antre  voyageuse et se laisser aller dans  l'envie d'aventure,  prendre place!

Éteignez!  Télé, radio, ordinateur,  téléphone, et lecteurs de toutes sortes.

Partez un moment!

Partez si le cœur et l'esprit vous en commande, vous  en donne le désir.

Partez dans  un voyage sans artifices et unique, qu'importe la méthode laissez vous simplement visiter et  en vous même Voyager!

Alors, autant de fois que vous le pouvez, avec  le sourire aux lèvres et l'esprit ouvert, Partez! Osez, Descendez, remontez sans limite de temps et d'espace sur cet escalator, cette spirale bien nommé  "la vie" dans un unique plaisir d'un Voyage Amoureux, d'une  Rencontre.                                                                                                                                            

Vivez  et  profitez un instant de vous, juste pour vous...

                                                                                                                           

N'oubliez pas que de vous même  vous êtes l'officiant, guide et chercheur à la  fois, et à ce titre " libre" à tout moment de partir et quitter aussi  cette  page d'un  simple clic.

 

Toutefois et  si tout est ad-hoc maintenant,  suivons ce bonhomme qui et là prêt au départ  avec en poche  seulement son ticket en l'instant immaculé, pas encore composté.                                             

Vous n’effectuerez rien qui puisse aller à l'encontre de vous même, si ce n'est un voyage, fait de ce que vous y mettrez.

Son  coût lui est personnel,vous est personnel dans la dépense. De ce voyage il ne résultera que le débours de votre  engagement selon , la où les conditions même du  voyage et de votre visite, de votre entreprise. Gardons  à l'esprit que nous ne sommes que les obligés de nous même et rien que cela nous engage dans la voie aussi vaste soit-elle....

Le temps du voyage, il va falloir  se  "dépouiller " s’offrir un cadeau et  tenter l'essai de passer libre,  de l'autre côté.

Détacher  de toutes contingences  "matérielles et existentielles". Libre!

  Cet Homme, Il  va vidé ces poches sans peur, sans crainte du lendemain, il a fait le vide des sommes contextuelles, cultuelles et culturelles, libre de touts dogmes.                                                                 

"il ouvre sa pensée  amoureuse de la vie à  la rencontre de son devenir"

Il voit Le monde  qui s'agite,  qui court, il voit aussi son monde.

Et puis une sirène, un sifflet,  des portes qui se referment et un flot de fourmis humaine qui  pénètrent  la rame, à qui je te pousse, à qui , à qui le nez sur la vitre, à qui  regarde et ne vois rien, à qui les regards vides qui se croisent et se détournent, l'autre devenant inquiétant. Le monde court, le monde cherche mais le monde se terre..... Indéniablement l'horloge  du temps et des temps a tourné et notre bonhomme  et toujours en attente, il  trépigne à l'intérieur  de ses propres sentiments. Il  se voit, se sent  emmuré, il  en est prisonnier, il tourne en rond dans un carré....

Chaque minutes, heures conditionnes sont départ, il ouvre, vide et remplie.. à nouveau sa valise. Un voyage cela se prépare!

Cet encombrement de l'insensé dans sa valise  le tyrannise, l'inquiète.

Il sait, qu' à l'évidence il ne peut transférer, s'en décharger, cette valise étant  sa demeure sa conscience , il en est le contenu et  le contenant, elle en n est sa compagne  de voyage.

Et lui... il et là , il demeure avec son fourbis intérieur sur  son quai, tout lui semble si vide  de sens, le monde s'agite!, mais que fait  ce monde..de l'autre,  ou le conduit il.

Lui qui ne cherche rien, ou plutôt qui cherche tout en  avait oublié  l'essentiel qui par stupidité, égocentrisme,  cupidité et avarice  de soi était  là sous ses yeux  " l'amour est l'ouverture" La gare et le temps qui passe (vu sous un angle d'image symbolique ) lui ont  fait éclater non pas ses pieds qui courent dans les affres des contraintes et obligations journalières mais  tout simplement son cœur qui demande à s'ouvrir plus encore.  Que fait cet Homme, deviendrait il maso au point de s'assigner lui même  en justice?

Souvenons nous de ces interrogations; il en à plus qu'il n'en faut à ce stade de son voyage.  

Alors cette mise en demeure de soi, il se  doit  de l' appréciée, non pas comme une action intrusive, mais bien comme une possibilité sans limite de se confronter à de nouvelles formes de pensées. Il part avec lui même et  chaque descentes devenant en soi une initiation. il ouvrira une porte, des portes.

En ce sens l’évolution qu'il va entreprendre sur les chemins méditatifs et créatifs  est comparable au funambule qui sur son fil joue et recherche le parfait équilibre. Cela suppose de faire corps et de ne pas s’éviter dans le contre-balancement des questions et bribes de réponses toujours plus interrogatives.                                

Né au petit matin de  sa  propre demande, il sait que sa démarche et ses étapes, descentes et ouvertures de portes doivent le guider et les yeux mis clos il s'installe.

Il ressent qu'il lui faut  révéler et laisser apparaître une nouvelle architecture de réflexion, non stéréotypée, non conditionnée, tout aussi ouverte sur le monde physique, matériel que spirituel.

Il plonge en lui même à la recherche d'une liberté de conscience sans contrainte ,  où l'esprit voyage et Médite  avec comme vénus intérieure un État unique, de Liberté autonome qui implicitement le conduira du moins il le souhaite  à se construire, à poser les éléments essentiels de l’ouvrage, de l’œuvre pour lesquels il descend t’en lui-même. Il médite est cette action en devient une qualité permanente d’inventaire personnel, où la résonance intérieure faite d études et de réflexions renvoi le chercheur dans un éternel va et vient, du haut vers le bas et inversement. Elle en est  un labyrinthe et Cette vision labyrinthique de l’action méditative lui  suppose la recherche qui à ce stade n’est autre que celle d’un chemin, d'une artère, d'un sang nouveau . Le but d’un labyrinthe dépasse largement la vision primaire et ludique généralement acquise, son terme est de se perdre… de buter, de se heurter, d’être confronter au final à ces décisions et ces questions, à soi pour soi dans et avec l’autre.

Ce seul état de fait tendrait à asseoir le Méditant dans le « cherche et tu trouveras » ou de fait il n’y a qu’une seule entrée et sortie possible, le chercheur lui-même qui, dans sa propre quête, dans son dédale va taper et ouvrir toutes ses portes de l’inconnu de son inconnu, ou bien encore du non reconnu... !

Alors, choisir en liberté de faire, et d’ouvrir des portes ne devrait en aucun cas  venir flatter l'ego et l’orgueil, le résultat devant demeurer et rester le fruit d’un partage, du chercheur cherchant, de l'homme parmi les Hommes.

L’action de Méditer  semble à fortiori être matériellement impalpable, et pourtant  elle nous éclaire au même sens que l'expérience, qui s'acquiert journellement dans nos pratiques fussent elles professionnelles de loisirs ou de vie tout simplement, méditer serait donc  alchimie opérative à la fois consciente et inconsciente. Elle conduit à s’appliquer, à écouter, à entendre et comprendre au- delà des mots, du cliché de la première impression, ressenti et sentiment.

Méditer impose de faire, et de faire taire le petit Moi ou Grand moi, Méditer serait donc  la recherche d’une paix intérieure dans état de discernement et de raison, avec comme un doux mélange les vertus et la sagesse qui ne se laisserait pas emporter par l’affect et la passion…

Méditer permettrait d'accompagner l'action  de se rapprocher d’un état de simplicité d’être et de savoir être, elle pourrait nous faire aussi comprendre combien il est important de s'épurer de l’illusoire, de l’inutile.

Elle  placerait  dans son travail en prise avec le sujet méditant, et le sujet médité à un niveau  de réflexions et de conscience qui tendrait à aboutir à un équilibre dans le faire avec équilibre et justesse.

Le travail...Méditatif impliquerait de fait  de savoir prendre son temps, et le temps.., le temps de s’interroger, de descendre, de peser et d’apprécier.

Cette recherche de vérité ou d’équilibre n'étant  pas la recherche de notre vérité comme absolue, elle résulterait et serait   l’aboutissement de plusieurs réflexions, parcours et points de vue, sommes de toutes les différences et partages  qui élargissent notre propre champ et conceptions du juste équilibre et interrogation

La seule chose qui pourrait être opposable à chacun est: la recherche que l’on entreprend avec soi.

la présentation faite sur le sujet  n’est pas une vérité en tant que telle, elle est simplement une des perceptions du Chercheur Méditant. Je vous la propose et l’oppose bien volontiers à vos commentaires.

 

Et l'homme sur son quai en est toujours à voyager, à  tailler dans l'agir....

 

 

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 Sophia-Exquadra

Tag(s) : #Citations - Réflexions et Pensées
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