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Perdre sa vie à la gagner,voila un sujet facile, plein de difficultés puisque il s'agit de vous, de moi, de la vie.
Plusieurs domaines d'action légitime peuvent épouser ce titre.
Le travail ,sujet du moment.
Le travail ou effectivement nous pourrions tous dire et ce quel que soit la rudesse et beauté de l'oeuvre que nous perdons notre temps de vie libre, à la gagner.
Il n'en reste pas moins que celui ci est un élément important, composante de la vie d'aujourd'hui.
Celui là même qui permet l' échange, le partage,l'évolution,la construction intérieure (facile ou pas) lieu de découverte permanent.
Celui que l'on attend de vous.
Celui dont vous aspirer en vous.
Agir dans cette tache de construction résulte bien souvent de l'équilibre du funambule, la perche tendue, maintenue dans un mouvement perpétuel de balancier à la recherche du pas futur, sans dégringoler.
Les ouvriers ( les hommes ) que nous sommes ne peuvent avancer sans prendre en compte les différents maillons existentiel de cette chaîne humaine. Prenons l'exemple des grèves,et hop là comme par miracle!!!! ont mesurent et l'ont vois ces Mêmes gens qui servent et oeuvres tous les jours.
De même que soeur météo mets en lumière nombres de services qui d'ordinaire sont dans l'ombre,voila combien tous les maillons sont important.
Ne dis t'ont pas "c'est dans le besoin que l'on reconnaît les siens"
Perdons nous réellement notre vie à la gagner?
Si nous devions considérer cette tache comme un service, dans le but de réunir la collectivité citoyenne, et bien rien ne se perd. Nous gagnons tous, et tout.
Au travers même des erreurs la formation implicite ce fait. C'est de l'avancement commun, ou chacun à son rythme avec les différence de perception des choses et éléments fondateurs que nous créons.
A venir; la complexité des relations inter professionelles et professionelles.
la Relation salariale et les en ----jeux.
Merci de vos commentaires,
bien à vous sophiaexquadra.