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Quand l'hiver de la vie habillé du silence glacial vient,
seul face à soi même; Un peu ici, un peu là.
Affublé par une somnolence médicale,
thérapie d'une ambiance qui délivre de la souffrance.
Choix de Partir dans la dignité en laissant sa conscience s'évaporer,
accompagné par son amie nommée:
"Morphine" elle, devenue copine de son être pour en garder l'état d'être.
Amour de lui qui s'en va, emporté dans sa volonté.
Témoin de cet état de transition ;
les souvenirs donnent et renferment avec eux la multiplicités des sentiments.
Présence de tout les instants, et absence de tout les moments physiques.
La question reste entière.
Pourquoi? quel sens trouver dans ce chemin qui s'ouvre.
L'absence, le vide, chaotiques moments de dé briefings intérieur,
seul celui qui reste devient.
Proie de toutes les pensées, des regrets de ne pas avoir pris le temps.
Alors la chambre familiale devient refuge de l'éternel.
La pensée, guidée sur l'être en silence trouvera échos des souvenirs joyeux.
C'est peut être comme cela ,
le temps n'efface rien il préserve et renforce la perception du chemin parcouru.
